« Un roman perturbant et essentiel », écrit le blog littéraire In Wonderland, à propos des Enfants Indociles.
Voici un extrait de l’article :
« Marie Charrel m’a littéralement embarqué : parce que Les enfants indociles, bien plus qu’être « un roman que l’on referme avec la furieuse envie d’oser les joies qu’on s’interdit », dixit la quatrième de couv, est un récit qui nous entraine de manière implacable dans les eaux sombres des faux semblants et des mensonges qui tissent, ce qu’on appelle, dans notre bienséance bourgeoise, les secrets de famille, et qui ne sont, en définitive, pour ceux qui les subissent, que l’expression de l’impossibilité de nouer un lien véritable et pérenne avec ses origines, donc, avec ce qu’ils sont.
Qui sommes-nous finalement ? C’est cette question que nous pose, avec insistance, et depuis son roman précédent, Marie Charrel. de quelle zones d’ombres, de quelles inconnues, ce moi que je considère être moi est-il la résultante ?
Loin d’être une simple bluette, Les enfants indociles est un roman qui sait explorer sans y aller par quatre chemins toute la difficulté de pouvoir exister sur des rêves, sur des mythes, sur les fausses épreuves d’une vieille bonne femme, et d’être, finalement, réellement soi… En explorant toutes les facettes de ce qu’est l’identité, Marie Charrel nous bouscule en nous ramenant à notre propre volonté de ne pas savoir, à cette dissonance cognitive qui, bien souvent, commence avec nous-même et notre histoire. Un roman perturbant et essentiel ».
L’auteur, Lionel Clément, est aussi l’un de ceux qui avait le mieux cerné « L’Enfant tombée des rêves ». Une belle rencontre. Touchante. Merci à lui.
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